Les quotas de femmes, que Berlin veut mettre en place à la tête des entreprises, sont la pire des solutions. A l’exception de toutes les autres. Editorial d’Elsa Conesa Les quotas sont un peu comme la démocratie : le pire des systèmes, à l’exclusion de tous les autres. Le gouvernement de coalition d’Angela Merkel aurait […]
Les quotas de femmes, que Berlin veut mettre en place à la tête des entreprises, sont la pire des solutions. A l’exception de toutes les autres.
Editorial d’Elsa Conesa
Les quotas sont un peu comme la démocratie : le pire des systèmes, à l’exclusion de tous les autres. Le gouvernement de coalition d’Angela Merkel aurait certainement préféré ne pas y recourir. En imposant la présence d’au moins une femme dans les directoires des entreprises cotées de plus de 2000 salariés, l’Allemagne est, avec la Suisse, la première à interférer ainsi dans la gestion opérationnelle des entreprises. Un aveu d’échec : la part des femmes dans les instances dirigeantes des entreprises allemandes est très inférieure à ce qu’elle est dans d’autres pays occidentaux, dont la France . Elle a même reculé.
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Paru dans Les Echos du 24 Novembre
